Description
Léopold Laplante est natif de Néguac, coquet petit village situé au mitan de la région qui englobe la Miramichi et la Péninsule acadienne. Après avoir vécu plusieurs années à Bathurst, il demeure maintenant à Dieppe. Pendant une quarantaine d’années, il fut tour à tour professeur et administrateur au Collège de Bathurst et à l’Université de Moncton, campus de Moncton.
Puisant dans ses souvenirs d’enfance et d’adolescence, il retrace les événements tantôt amusants, tantôt sérieux, qui l’ont marqué. Il évoque avec attendrissement et humour le souvenir des personnes qui l’ont entouré au cours de sa vie. Avec art, il arrive à nous faire voyager dans le temps en nous permettant de retrouver la saveur des mots anciens et l’atmosphère bucolique d’une communauté traditionnelle des années 1940 à 1950. De même, ceux qui ont connu l’époque des collèges classiques retrouveront avec nostalgie, sinon avec joie, les personnages et les péripéties de ces années de formation loin de la famille.
Le pays de l’enfance, c’est le pays de rêve que les enfants doivent pourtant quitter un jour pour accéder au pays du « raisonnable ». Heureux ceux et celles qui ont su conserver un peu de cette imagination et de cette poésie, associées à l’enfance, pour les accompagner dans leur vie d’adulte ; ils seront nos poètes et nos artistes de demain !
Puisant dans ses souvenirs d’enfance et d’adolescence, il retrace les événements tantôt amusants, tantôt sérieux, qui l’ont marqué. Il évoque avec attendrissement et humour le souvenir des personnes qui l’ont entouré au cours de sa vie. Avec art, il arrive à nous faire voyager dans le temps en nous permettant de retrouver la saveur des mots anciens et l’atmosphère bucolique d’une communauté traditionnelle des années 1940 à 1950. De même, ceux qui ont connu l’époque des collèges classiques retrouveront avec nostalgie, sinon avec joie, les personnages et les péripéties de ces années de formation loin de la famille.
Le pays de l’enfance, c’est le pays de rêve que les enfants doivent pourtant quitter un jour pour accéder au pays du « raisonnable ». Heureux ceux et celles qui ont su conserver un peu de cette imagination et de cette poésie, associées à l’enfance, pour les accompagner dans leur vie d’adulte ; ils seront nos poètes et nos artistes de demain !