Description
Tout chavire pour Martine, une bonne vivante aimée de tous, pendant la pandémie de la COVID-19. Si, comme bien des gens, elle avait peur des répercussions de la pandémie, elle n’était certes pas prête à affronter le fléau que tout le monde redoute : le cancer. Après un an de symptômes et un système de santé affaibli par le coronavirus, il est trop tard pour elle lorsque le verdict tombe : un cancer de stade 4. Cependant, même si la nouvelle est accueillie en crise de larmes, Martine croit aux miracles et à la guérison par l’humour. Malgré ses souffrances, son amour pour l’être humain en général continue d’être au centre de sa vie. Sa soeur Rachel décide de partager son histoire…
Née le 23 octobre 1974 à Saint-Quentin, au Nouveau-Brunswick, Rachel a reçu son diplôme d’études secondaires à la polyvalente Alexandre J. Savoie. Elle a fait ses études à l’école de sciences infirmières et reçu son diplôme d’infirmière en 1994 à Edmundston. Elle a travaillé par la suite à l’hôpital régional de Grand-Sault pendant cinq ans au département obstétrique, médecine et pédiatrie. Ensuite, de 2000 à 2011, elle a travaillé en obstétrique à l’hôpital régional d’Edmundston, pour ensuite, de 2011 à maintenant, travailler au Programme extramural d’Edmundston (infirmière à domicile), qui prend soin d’une clientèle variée, dont les soins palliatifs, les soins de confort et les décès à domicile. Rachel aime particulièrement les soins palliatifs, pour ce que les patients et leur famille lui apprennent sur la vie.