Description
La vie est comme un labyrinthe, composée de plusieurs chemins qui ne mènent à rien et nulle part. Elle n’a toutefois qu’une seule entrée et une sortie. Plusieurs chemins mènent au chagrin, au découragement, au désespoir, au mal à l’âme jusqu’à ne plus avoir le goût de vivre.
Le chemin retrouvé du labyrinthe de la vie est sans doute l’eurêka nécessaire à la victoire. Durant les jours sombres, il fait réapparaître le soleil. À sa sortie, on retrouve l’abondance, la paix, la joie et le bonheur tant désiré, souhaité et attendu.
C’est ce chemin que je tente de vous faire découvrir avec des termes simples et des mots de tous les jours.
Florent Godin est né à Bertrand (Nouveau-Brunswick) en 1947, de parents pas très éduqués, mais intelligents. Ils étaient pauvres, comme la plupart des Acadiens de l’époque, mais remplis d’amour l’un pour l’autre. Cet amour a pris fin au décès prématuré de sa mère. Un décès très cruel, qui aurait pu être évité. La vie continuait, malgré la tristesse dans laquelle toute la famille nageait.
À l’âge de 13 ans, Florent est devenu un décrocheur scolaire. Plus tard, il sera interpellé, avec une profonde compassion, pour venir en aide aux enfants qui, comme lui, n’ont pas eu la vie facile.
Malgré toutes ses difficultés d’apprentissage, l’auteur témoigne qu’avec l’aide de Dieu, il a trouvé la sortie des différents chemins de son labyrinthe. Ainsi, à l’âge de 23 ans, il retourne aux études et termine sa scolarité. Il suit un cours en mécanique lourde et un autre en mécanique automobile. Il continue son perfectionnement en ajoutant une formation en éducation à l’Université de Moncton, un bac en théologie à l’Université Acadia, une faculté du campus de Montréal, un certificat en méthodologie de recherche à l’Université de Montréal, ainsi qu’un certificat en gestion des organismes associatifs à l’Université de Moncton, faculté de Bathurst.